Bon ben voilà l’époque des soupes et des plats uniques arrive. Ça tombe bien parce que moi j’apprécie bien les soupes et comme ça tout le monde a sa ration de légumes, parfois double ration ! J’aime particulièrement la saveur du cresson. Cela faisait longtemps que je n’en avais pas fait et ma fille en rentrant de l’école a reconnu son odeur caractéristique. J’avoue, la mère que je suis n’était pas peu fière des connaissances culinaires de sa petiote ! Donc comme ça faisait longtemps que je n’en avais pas acheté j’en ai pris 2 bottes ! Ouh, la, la ! J’avais oublié que c’était aussi long d’éliminer les grosses tiges. Avant je mettais tout et puis je me suis rendue compte que cela faisait trop de fibres même en mixant au blender. Alors je me suis attelée à la tâche et ne fus pas déçue du résultat…
Ingrédients (pour 6 personnes)
2 bottes de cresson
2 pommes de terre
1,5l l d’eau
1 tablette de bouillon de volaille
1 oignon
2 cs de crème fraiche (ou de Philadelphia c’est bon aussi)
1 cc de gros sel gris de Guérande
Poivre
Temps de préparation : presque 1h !
Epluchez et émincez l’oignon.
Lavez, épluchez les pommes de terre puis coupez-les en dés.
Faites revenir l’oignon avec 1 cuillère à soupe de matière grasse dans une cocotte.
Ajoutez les dés de pomme de terre, remuez et faites cuire 5 minutes.
Versez l’eau et la tablette de bouillon de volaille.
Couvrez et amenez à petite ébullition pendant 10 minutes.
Rincez le cresson et ne conservez que les feuilles.
Ajoutez-les dans la cocotte et prolongez la cuisson de 10 à 15 minutes.
Salez, poivrez puis ajoutez la crème.
Mixez au mixer plongeant et ajoutez de l’eau chaude si le velouté est trop épais.
Moi qui pensais en avoir fait beaucoup pour pouvoir en garder une tasse pour le lendemain…pfffft ! Même pas ! Il n’est rien resté. D’un autre côté cela fait plaisir de voir que tout le monde a apprécié !
Ohlala la soupe de cresson j’adore !!! Que de souvenirs d’enfance 😀
Décidement nous faisons ressurgir ces tendres années!!! J’ai habité 4 ans aux Abymes à côté de Pointe-à-Pître, mon père étant prof à la fac à cette époque. Mais là-bas ce n’était pas le cresson
qui était à la fête!